Pierre Grandclaude



TRAVAUX
  

    _ Retourner l’extrême droite _


    _ Adam et Lilith _

   

    _ mardi 17 octobre _


    _ Événement_03 _


    _ X Destroys X _


    _ brav M. Raoul _


    _ Événement_02 _


    _ Wearing B _


    _ Voilà une classe qui se tient sage _


    _ Skate Plaza _


    _ Événement_00 _


    _ Grilles à torsion simple _


    _ Sans_titre _



SÉRIGRAPHIES

    _ 13.12 _


    _ Voilà une classe qui se tient sage _

    _ Événements_01 _



ÉDITIONS

    _ collectif jaune pisse _


    _ jaune peace _



Mark

_ Skate Plaza




techniques mixtes, stylo à bille sur papier canson blanc, 1m50 / 1m50


« Dans une architecture conçue non plus pour le citoyen mais pour le consommateur colonisateur, les skateurs casseurs posent la question de l’usage que nous faisons de la ville. […] Spontanément, ils suspendent le pouvoir implicite mais présent dans chaque objet du mobilier urbain, ils renvoient la ville à son essence, un jeu de matériaux mis en formes. […] Les skateurs casseurs remédient à la logique des espaces commerciaux coloniaux et sont ainsi producteurs d’espaces publics. […] Ils apparaissent en “créateurs” plutôt qu’en simples “usagers”. […]

- La question est de savoir qui sera le maître, un point c’est tout. »

Extraits de La conjonction interdite : notes sur le skateboard, Suivi de La question est de savoir qui sera le maître, Raphaël Zarka, B42, Paris, 2011.
Ici le mot skateur a été remplacé par casseur et la notion d’espace commercial par celle d’espace colonisé.




Mark